Didier Sentinelle 68 Webmaster/Superviseur
Nombre de messages : 125 Age : 62 Localisation : Saint-Louis (France - Alsace ) Date d'inscription : 07/12/2006
| Sujet: Qu'est- ce que la Paracha??? Dim 25 Jan - 18:33 | |
| Tou Bishvat, ou Tou Bishvat (ט"ו בשבט), est une fête juive "mineure" (c'est-à-dire à laquelle aucune restriction de travail ne s'applique), l'un des quatre Rochei Hachana ("Nouvel Ans") mentionnés dans la Mishna, sur laquelle se basent les Talmuds. Tou Bichvat est le "Nouvel An des arbres" (Rosh HaShana La'Ilanot ראש השנה לאילנות), correspondant, en terre d'Israël, à la fin de l'hiver et marquant ce qui, en Occident, est considéré comme le printemps, à savoir le renouveau de la nature (la fête juive du printemps n'est toutefois pas Tou Bichvat mais Pessa'h, car l'Exode eut lieu selon la Bible au Mois du Printemps). Le nom Tou Bichvat vient de la date de cette célébration, le 15ème jour de Chevat (שבט, tombe entre janvier et février dans le calendrier grégorien). Chevat (ou Shvat) est le nom de l'un des mois du calendrier juif et ט"ו, lu "Tou," est la transcription de 15 selon le système alphanumérique utilisant l'alphabet hébreu. Les Juifs Haredim appellent d'ailleurs cette fête par son nom "entier", Hamisha 'Assar BeShvat (חמישה-עשר בשבט), "Le Quinze de Chevat". Les traditions de Tou Bichvat A Tou Bichvat, on plante des milliers de jeunes arbres, destinés à faire reculer le désert et à marquer le lien qui existe entre l'homme et la nature. On mange des fruits, comme l'olive, la grenade, la datte, la figue, le raisin... On réunit sur la table au moins quinze sortes de fruits différents, les plus rares et les plus exotiques possibles. Tou Bichvat sensibilise les enfants à la beauté de la nature en les encourageant à planter des jeunes arbres. Elle délivre aussi un message de paix car l'arbre, qui ne doit pas être utilisé en période de guerre pour fabriquer des armes, représente dans la pensée juive la « métaphore de l'être humain ».Tou BishvatLe 15 de ShvatHanouka et le miracle de la fiole
Dans l’esprit de l’immense majorité de nos coreligionnaires, le concept de Hanoucca est associé au miracle de la fiole d’huile. C’est autour de ce miracle que gravite exclusivement la fête de Hanoucca. Or, cette période historique, plus connue sous le nom de « période hellénistique est très riche en événements qui eussent mérité que l’on s’y arrête
Le Talmud, en général si exhaustif, quand il s’agit de Hanoucca il passe sous silence toute cette période pour ne s’attarder que sur la fiole d’huile. On y trouve très peu de textes relatifs à la guerre des Asmonéens contre la puissance grecque occupante. Seule la fiole qui a fourni suffisamment d’huile pour allumer le candélabre durant huit jours fait l’objet d’une mention très brève dans le traité Chabbath, et trois pages plus loin, un point accessoire du rituel. Dans le traité Yoma, on peut lire : « Le miracle de Hanoucca n’a pas été admis à être consigné par écrit, c’est à dire à figurer dans le canon biblique. »A part ces brèves remarques on ne trouve plus rien.
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